Les deux "gardiens" de la Justice encadrent la majestueuse porte du Palais. Sur les socles, les plaques mentionnent :
Le jugement se passe à huis clos car la cour traite une affaire dont les victimes sont des mineurs. Au cours d'une séance de suspension, la porte s'entrouvre et nous en profitons pour pénétrer dans la cour d'assises. À noter le portique, emprunté obligatoirement par les justiciables et le public, servant à la détection des armes.
La porte franchie, le tribunal nous apparaît côté magistrats et jury, surmonté d'une fresque d'Ernest Michel réalisée entre 1876 et 1879.
Le côté public, ici absent pour cause d’huis clos, donne sur la porte de sortie et le hall. Les boiseries sont surmontées d'une autre fresque du même Ernest Michel.
À droite, la barre avec son microphone. À gauche, l'historique de la construction du Palais de Justice.
Le petit bloc vitré mais totalement clos, sauf côté couloir, des personnes devant être jugées.
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